N E W S
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Amour, viens aider ma faiblesse // Samson et Dalila // St Saëns
Liber Scriptus// Messa di Requiem // G. Verdi
Les tringles des sistres tintaient // Carmen // Bizet
Carmen Final Duet with Benjamin Bernheim //Carmen // Bizet
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"Quel bonheur d’entendre enfin un des plus grands rôles du répertoire français reconquis par une interprète qui chante dans sa langue natale ! Après tant de Dalilas venues de l’est de l’Europe, il se présente aujourd’hui une artiste française capable de leur succéder ! Authentique contralto, Aude Extrémo n’a pas à s’inventer des graves, à poitriner ou à forcer, car elle a naturellement le timbre pour lequel Saint-Saëns a conçu son personnage. Et ses aigus sont tout aussi insolents, ce qui ne gâte rien. L’heure des grands rôles a sonné pour cette ancienne élève de l’Atelier lyrique de l’Opéra de Paris : Saint-Etienne nous la montrera bientôt en Isabella de L’Italienne à Alger, et la saison prochaine en Arsace de Sémiramis. Mais c’est dans le répertoire français que nous voudrions aussi et surtout la retrouver : Sylvie Brunet ne chante plus guère Dalila, mais la relève de Denise Scharley est désormais assurée."
- Laurent Bury- Forum Opéra, Octobre 2015
"En Amnéris, la Française Aude Extrémo est la grande révélation de la soirée. Quel timbre intéressant, quelle souplesse dans la voix, avec un grave qui lui permet d'incarner aussi bien les rôles de mezzo (le registre aigu est clair) que ceux de contralto (sa Dalila bordelaise, la saison passée, a marqué les esprits)! Tout son dernier acte est de très haut niveau."
- Jacques Bonnaure, Opera Magazine, Janvier 2017
"Aude Extrémo (Venus, Tannhäuser), sosie de Jean Harlow ou Zsa Zsa Gabor, ineffable d'intelligence musicale vocale, déploie les séductions les plus langoureuses et Dieu, que les mélismes influents de la version de Paris lui vont bien! "
- Christian Colombeau, Podcast journal. Fevrier 2017
"Est-il possible, dès lors, d'« exister » face à une telle Semiramide ? Aude Extremo, en Arsace, démontre que oui. La jeune mezzo fait elle aussi montre d'une aisance vocale déconcertante dans son rôle travesti. Une projection impeccable..., un timbre offrant ce qu'il faut de vibration, une réelle aisance scénique : la performance est de haut vol. Ainsi les duos Semiramide-Arsace, qui plus est portés par l'intensité de l'intrigue, sont de grands moments de volupté et d'harmonie vocale portée à quintessence (notamment dans le “Giorno d'orrore” de l'acte II)."
- Pierre Géraudie, Olyrix. Mars 2018
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